Alors que Rafael Nadal et Roger Federer ont remporté à eux deux les trois premiers Grand Chelem de l’année, Fabrice Santoro s’est montré admiratif.
Roger Federer et Rafael Nadal ne sont pas morts. Loin de là. Malgré de grosses difficultés sur l’année 2016, les deux champions ont su rebondir en ce début de saison. Depuis le mois de janvier, Rafa et Roger ont raflé les trois premiers Grand Chelem - Roland-Garros pour l’Espagnol, l’Open d’Australie et Wimbledon pour le Suisse -, sans oublier qu’à eux deux, ils ont déjà soulevé six trophées (trois chacun, hors Grand Chelem).
«Rien à dire, sauf : respect»
Lors d’un entretien accordé à L’Équipe, Fabrice Santoro n’a pas tari d’éloges sur les deux anciens numéros un mondiaux. « Une image me hante. Celle de l’inauguration de l’académie de Rafa, l’automne dernier, où je les vois couper le ruban. Ils sont morts de rire, mais tout le monde dit qu’ils sont fichus. Qu’ils ne sont plus bons qu’à couper des rubans. Huit mois plus tard, ils ont raflé les trois premiers Grands Chelems. Ils survolent la saison. Rien à dire, sauf : respect », a-t-il lâché.