Coupe du monde de rugby : Absence surprenante pour le XV de France et les All Blacks !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Le grand jour est arrivé, avec le lancement ce vendredi soir de la Coupe du monde de rugby en France, avec un premier choc entre les Bleus de Fabien Galthié et la Nouvelle-Zélande qui se partagent un point commun, les deux sélections ayant le même sponsor maillot : Altrad. Cependant, cela ne sera pas visible lors de leur confrontation en ouverture du Mondial, voilà pourquoi.

La pression monte pour le XV de France. Favoris du Mondial organisé dans l’Hexagone, les hommes de FabienGalthié démarre avec du lourd en retrouvant les All Blacks pour le premier match. Ce vendredi au Stade de France (21h15), les Bleus tenteront donc d’entamer la compétition avec la victoire afin de faire le plein de confiance, avant d’affronter l'Italie, l'Uruguay et la Namibie. Des rencontres que la sélection tricolore disputera sans son sponsor maillot.

La France et la Nouvelle-Zélande sont privées… d’Altrad

Habitués à avoir le logo Altrad floqué sur le torse depuis 2017, les Français feront sans durant toute la durée de la compétition. Et il en est de même pour la Nouvelle-Zélande, qui a également pour sponsor l’entreprise spécialisée dans le bâtiment. En effet, si World Rugby autorise les sélections à disposer d’un sponsor maillot la plupart du temps, à l’inverse de la FIFA avec les équipes nationales, il est en revanche interdit de s’afficher avec lors d’une Coupe du monde afin de donner la priorité aux sponsors de la compétition.

« Il n’y a pas de mauvaise surprise »

Mohed Altrad ne disposera donc pas d’une tribune de choix pour son entreprise ce vendredi soir, comme ce fut déjà le cas en 2019 au Japon. Il avait alors affiché sa compréhension. « Il n’y a pas de mauvaise surprise. World Rugby donne toujours la priorité aux sponsors de la compétition et nous le comprenons », confiait-il dans le Midi Olympique.

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