Tension au PSG, Luis Enrique met les choses au clair
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

Après le dernier match de championnat du PSG disputé face à Rennes, Luis Enrique s'était accroché avec le journaliste Alexandre Ruiz en interview d'après-match. Le technicien espagnol a de nouveau évoque le sujet ce vendredi et se livre sans détour sur son rapport aux médias. 

Le 8 octobre dernier, après la rencontre de Ligue 1 remportée par le PSG sur la pelouse de Rennes (3-1), Luis Enrique s'était présenté au micro de Free Ligue 1 pour débriefer la prestation de son équipe. Et l'entraîneur espagnol, visiblement agacé par les questions du journaliste Alexandre Ruiz, n'avait pas hésité à s'agacer et lui reprocher sa négativité. Une séquence qui avait fait le buzz, juste avant la trêve internationale, et sur laquelle Luis Enrique n'avait pas encore eu l'occasion de s'exprimer. 

« Tu ne vois que les choses négatives »

« Toi, tu ne vois que les choses négatives. Tu es corrosif. Toutes les interviews. C’est le journaliste le plus négatif de l’histoire du football mondial. Un jour, on a gagné 4-1 et il m’a dit qu’on méritait de perdre », avait alors lâche l'entraîneur du PSG au journaliste de Free Ligue 1, passablement agacé par ses questions. 

« Si vous me posez une question de manière agréable...»

Interrogé en conférence de presse ce vendredi, Luis Enrique a don enfin eu l'occasion de revenir sur cette tension, et le technicien espagnol a tenu à défendre sa position : « Les exercices avec la presse ? Oui j'adore mais le problème c'est qu'à chaque fois vous êtes de moins en moins, j'espère que je ne vais pas me retrouver tout seul. C'est mon travail, j'apprécie de faire les interviews, les conférences de presse, le terrain, surtout quand on gagne. Mais je me sens très bien et j'essaie de renvoyer l'affection que je reçois. Si vous me posez une question de manière agréable, je vous répondrais de manière agréable », assure Luis Enrique. Voilà qui est clair. 

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