Engagé dans la nouvelle édition de la Coupe du monde des clubs, le PSG a triomphé pour ses débuts face à l'Atlético de Madrid. Le club de la capitale va enchaîner la nuit prochaine face à Botafogo, un adversaire a priori largement à la portée des hommes de Luis Enrique. Renato Paiva, l'entraîneur du club brésilien, aura à cœur de déjouer les plans du PSG.

Auteur d'une saison époustouflante, le PSG ne compte pas vraiment se reposer sur ses lauriers. Aux Etats-Unis, le club de la capitale a un nouvel objectif : remporter cette compétition. Il faudra se débarrasser d'équipes que le club n'a pas forcément l'habitude d'affronter, à commencer par Botafogo. Le club entraîné par Renato Paiva, qui connaît bien Gonçalo Ramos et Joao Neves après son passage chez les jeunes à Benfica, ne veut pas se montrer vaincu.
Le PSG largement favori face à Botafogo
En réussissant à remporter la Ligue des champions, le PSG fait logiquement partie des favoris pour remporter la Coupe du monde des clubs. Dans la nuit de jeudi à vendredi, les hommes de Luis Enrique devront confirmer leur bon démarrage aux Etats-Unis. « Je pense que le cimetière du football est rempli de favoris. C'est un match, il y a des probabilités, mais nous les entraîneurs, nous préparons toujours les matches de la même façon. Je veux que mon équipe fasse certaines choses, qu'elle corrige ce qui a mal tourné, et lors du dernier match, il y a eu beaucoup de choses, qu'elle identifie les faiblesses de l'adversaire et qu'à partir de là, elle se batte pour les trois points » débute d'abord Renato Paiva en conférence de presse avant le match.
Le PSG sous la menace
A quelques heures d'un énorme défi pour Botafogo, le club brésilien a clairement affiché ses ambitions et comme pour tous les matches, le PSG devra se méfier. « L'adversaire est ce qu'il est, mais il gagne, perd et fait match nul parfois. S'ils disent que nous sommes favoris, nous pouvons aborder le match trop relâché ; s'ils disent que nous ne sommes pas favoris, mes joueurs risquent d'avoir peur. Moi, je veux qu'ils soient eux-mêmes. C'est tout. Tout ce que cette équipe peut faire demain, c'est améliorer ses performances, ce qui ne sera pas difficile, et être elle-même, quel que soit l'adversaire. Et je suis convaincu que c'est ce qui va se passer » poursuit Renato Paiva.