Pierre Ménès a avoué qu'il était supporter du PSG lors de ses jeunes années. Toutefois, le journaliste français a lâché son club de coeur lorsqu'il a commencé à exercer sa profession. D'une part, parce qu'il y avait « une merde par jour » à Paris. D'autre part, parce que la route jusqu'à Saint-Germain en Laye était insupportable pour lui.
Ce vendredi après-midi, Pierre Ménès a raconté ses dossiers sur le PSG. En effet, le journaliste français a publié une vidéo sur sa chaine YouTube Pierrot Le Foot, où il dévoiles ses anecdotes croustillantes sur le club de la capitale. Pierre Ménès est notamment revenu sur la période où il était un supporter du PSG, expliquant pourquoi il n'était plus derrière son club de coeur.
«Michel Denisot prend un coup de poing»
« C'est sûr que le PSG a eu une grande place dans ma vie. Je n'ai jamais caché en avoir été supporter à la fin de mon adolescence et au début de mon âge adulte. Après quand j'ai commencé à travailler à L'Equipe, et à suivre des matchs le week-end, je ne pouvais plus être au Parc des Princes, c'est mathématique. Pour ne plus supporter le PSG, ce qu'il y a de mieux, c'est le suivre au quotidien comme journaliste, parce que c'était un enfer. D'abord, parce que j'habitais à côté de Disney Land, donc faire la route jusqu'à Saint-Germain en Laye tous les jours, avec les bouchons et tout, c'était quelque chose. Et puis le PSG, c'était une merde par jour », a regretté Pierre Ménès.
«Loko pète les plombs et se retrouve au commissariat»
Dans la foulée, Pierre Ménès a raconté une semaine infernale vécue par le PSG lors du mandat de Michel Denisot (président entre 1991 et 1998) : « Je me souviens d'une saison qui commence à Bastia le mercredi soir, où Michel Denisot prend un coup de poing, le soir même Patrice Loko pète les plombs et se retrouve au commissariat, le jeudi Denisot dit de son entraineur qu'il faudrait qu'il soit un petit moins Luis et une petit peu plus Fernandez, et le vendredi Alain Roche se pète les croisés. Le championnat avait commencé depuis trois jours, et tu avais déjà fait douze papiers dans L'Equipe et tu étais déjà exténué ».