Max Gradel, arrivé dans la confusion d’une fin de mercato agitée, s’est enfin fait remarquer ce week-end. Sur le terrain, l’Ivoirien a lancé la victoire de Sainté contre Ajaccio (3-1). Le bon moment pour L’Equipe de s’intéresser au phénomène et de nous livrer, ainsi, une croustillante anecdote.
Jusqu’ici en Angleterre, « Mad Max » (son surnom à Leeds, « Max le fou ») n’a pas débarqué dans le Forez les mains vides. Le jeune joueur ne souhaite en effet pas quitter sa voiture de sport, immatriculée selon ses souhaits en Angleterre. Résultat, le petit a fait inscrire son nom sur la plaque de son bolide. Comme la législation anglaise impose deux chiffres, Gradel s’est contenté d’un « GR04DEL ». Une bizarrerie, qui trône désormais sur le parking de l’Etrat.
La plaque, après les protège-tibias dévoilés dans les vestiaires, suite à la rencontre face à Ajaccio. A quand le tatouage « Gradel » sur le front ?