Le gouvernement espagnol taxe sévèrement le Français du Barça qui renégocie son contrat pour sauver ses meubles.
Le Conseil des Ministres espagnol s’est entendu vendredi dernier sur une nouvelle réforme qui fait mal à Eric Abidal. Protégé jusqu’à présent par la loi surnommée « loi Beckham », en 2012 le Français va devoir donner au gouvernement espagnol plus de la moitié de son salaire, soit 56%.
Argument de poids pour sa prolongation Pendant ses premières années en Liga, un joueur étranger ne paye que 24% de son salaire brut aux impôts espagnols. C’est ce qu’on appelle en Espagne la « loi Beckham. » Mais après 5 ans, les impôts passent à 49 %. Enfin jusqu’à vendredi dernier, c’était le cas. Eric Abidal s’attendait à payer 49% de son salaire brut aux fisc. Mais depuis vendredi, le Conseil des Ministres espagnol a voté une nouvelle loi qui fait passer le pourcentage à 56%. C’est à dire que même si le Barça double le salaire du Français, ce dernier empochera moins à la fin de l’année puisqu’il aura donné plus du double à la Communidad Catalana. Un argument de poids pour les négociations. Mais on ne va pas le plaindre non plus…