Chelsea : Les confidences de José Mourinho après les attentats à Paris !
La rédaction

Après de nombreux témoignages autour des attentats à Paris, au tour de José Mourinho de sorti sur cette événement tragique.

Avec un bilan de 129 morts et une centaine de blessés graves, les attentats de Paris a ouvert une énorme plaie dans la capitale. De nombreux témoignages ont afflué en France mais également dans le monde entier pour soutenir la Ville Lumière, touché de plein fouet par le terrorisme. Le monde du football s’est ainsi déclaré solidaires des Parisiens dont les dernières déclarations de José Mourinho, entraîneur de Chelsea.

« Cela n’affecte pas que la France mais le monde entier »

« Je pense que ma réaction est celle de tout le monde. Je ne peux absolument rien faire pour aider mais nous faisons partie du monde du football. C’est un monde assez puissant pour monter nos sentiments et notre solidarité. Je crois que dans le monde entier, différents secteurs de la société ont voulu montrer leur soutien et leur douleur. Mais la réalité est que le football est très puissant et le match Angleterre-France a certainement été le meilleur exemple de tout ça. Donc qu’est-ce que nous pouvons faire ? Rien mais juste utiliser la puissance de notre sport pour monter notre solidarité et notre unité pour quelque chose qui n’affecte pas que la France mais le monde entier », confesse José Mourinho en conférence de presse. 

« Tant de douleur, de tristesse, d’angoisse »

« C'est tellement difficile de parler alors qu'il y a tant de douleur, de tristesse, d'angoisse... J'ai vécu, on a vécu à Madrid ce que les Français ont tous ressenti devant leur télé, la sidération, l'horreur, la tristesse, beaucoup de tristesse. Alors plutôt que de longs discours, je pense d'abord à tous ces gens, à ces photos de la vie, ces visages que l'on a vu défiler dans les médias, on pense à leurs proches, leurs amis, leurs familles...On n'a pas vraiment le cœur à parler.... Comme je n'avais pas vraiment le cœur à jouer, samedi dernier à Manchester pour une cause qui m'est pourtant chère », admet de son côté Zinedine.

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