Depuis vendredi 20 janvier, la vie de Dani Alves a basculé. En vacances à Barcelone après la Coupe du Monde qu’il a disputé avec le Brésil, il aurait violé une femme dans un boîte de nuit dans la nuit du 30 au 31 décembre dernier. Depuis, il est en prison et la version de la femme l’accable, tandis que la sienne a déjà changé trois fois.
En prison depuis le 20 janvier dernier, Dani Alves va être transféré dans une autre prison en raison d’un manque de sécurité et de confidentialité à son égard. Des détenus ayant pris l’ancien défenseur du FC Barcelone en photo. Après la première version des faits décrits par la plaignante, une seconde est sortie dans les médias ce lundi.
«Je ne savais pas ce qu’il y avait derrière cette porte»
La justice va devoir démêler le vrai du faux. Après les trois versions de Dani Alves - qui avait affirmé ne pas connaître la jeune femme, puis l’avoir aperçue, et enfin avoir eu des relations sexuelles consenties avec elle - la plaignante a lâché de nouveaux détails sur les faits dans des propos recueillis par La Vanguardia : « je ne savais pas ce qu’il y avait derrière cette porte, je pensais qu’il y aurait un autre espace VIP. J’ai résisté mais il était beaucoup plus fort que moi ».
Un proche de Neymar en prison, il fait son mea-culpa https://t.co/Xk7WFTvv77 pic.twitter.com/brQO4ezf6l
— le10sport (@le10sport) January 23, 2023
«Je pensais qu’il y aurait un autre espace VIP»
Une déclaration qui appuie son premier témoignage auprès de la justice espagnole, le soir même de l’agression de Dani Alves : « Alves l'a obligée à s'asseoir sur lui, l'a jetée au sol, l'a forcée à lui faire une fellation, ce à quoi elle a activement résisté, l'a giflée, l'a soulevée du sol et l'a pénétrée jusqu'à ce qu'il éjacule. »