Buteur samedi à Auxerre, André Ayew est de plus en plus convoité par Arsenal. Malgré les déclarations de José Anigo ce week-end, Arsène Wenger a lancé une deuxième offensive pour l'enrôler.
Avec le départ de Cesc Fabregas au Barça, et celui probable de Samir Nasri à Manchester City, Arsène Wenger n’a plus le choix et doit trouver au plus vite un milieu offensif. Comme à son habitude, le manager alsacien des Gunners lorgne ainsi sur la Ligue 1 et ses petits joyaux. Marvin Martin, Mathieu Valbuena, et surtout André Ayew ont été convoités ces derniers jours par Wenger. Et l’aîné de la patrie Ayew, actuellement en pleine bourre avec l’OM, semble même figurer en tête de liste.
Grimandi était dans les tribunes Sauf que voilà, l’OM n’est pas vendeur, comme l’a réaffirmé José Anigo dimanche sur le site officiel du club : « On peut lire et entendre des choses, ce que je peux comprendre, mais nous ne sommes pas vendeurs ». Le refus marseillais n’aurait cependant pas empêché Arsène Wenger de poursuivre ses manœuvres selon CFoot. Samedi, le manager des Gunners aurait même relancé l’OM pour connaître leur position. Le lendemain, Gilles Grimandi était à son tour dans les tribunes du Stade de l’Abbé-Deschamps pour superviser le petit ailier ghanéen.
Une clause qui fait débat En attendant, une clause libératoire de 13 millions d’euros dans le contrat d’Ayew fait débat. L’OM est ferme, celle-ci est périmée, alors que l’entourage du joueur en dit le contraire. « On parle d’une clause, mais celle-ci a une date butoir, qui est passée. Aujourd’hui, on est en toute tranquillité. Dédé a envie de rester à Marseille », expliquait ainsi Anigo dimanche. Un autre Dédé en aura en tout cas grandement besoin.