L’entretien accordé par Arsène Wenger au cours duquel il évoque son regret de ne pas avoir un jour signé au Real pourrait-il signifier un peu plus ? Analyse.
Il y a quelques jours, Arsène Wenger a accordé un long entretien à BeIN Sport au cours duquel il évoque entre les lignes son regret de ne pas avoir à un moment dit « oui » au Real Madrid, qui a tenté à plusieurs reprises de le faire venir : « Le regret est que j’ai peut-être un peu sacrifié les victoires pour la loyauté. Ou pour le désir de construire un club et l’influence que j’ai eue sur Arsenal. Bâtir le club lors de la construction du stade (Emirates Stadium) contre le fait que j’aurais pu gagner plus d’argent en allant ailleurs et en étant moins limité financièrement ».
Un appel du pied à demi-mot ?
Dans le contexte actuel, marqué par une incertitude autour de l’avenir de Zidane sur le banc de touche, les mots de l’entraîneur français, sans club depuis son départ d’Arsenal, mais qui n’a jamais caché son envie de retrouver un banc de touche, amènent fatalement à imaginer qu’entre les lignes, il fait connaître son intérêt au président du Real Madrid, si ce dernier décidait finalement de changer d’entraîneur…