En marge de la rencontre entre le Paris Saint-Germain et le RC Lens, Maxwell s’est livré concernant son avenir. Le Brésilien a également parlé des difficultés qu'a rencontrées Laurent Blanc récemment.
Arrivé sur la pointe des pieds en 2012, Maxwell s’est rapidement imposé comme le titulaire indiscutable du poste de latéral gauche au Paris Saint-Germain. Le Brésilien a retrouvé les devants de la scène après des moments de doutes rencontrés au FC Barcelone, où il était considéré comme un remplaçant de luxe vers la fin de l’ère Guardiola. À Paris, le joueur de 33 ans a apporté son expérience et sa connaissance du haut niveau, lui qui a notamment gagné une Ligue des Champions avec les Blaugranas en 2011.
« LAURENT BLANC A UN PARCOURS DE VAINQUEUR »
Dans un entretien accordé à beIN Sports, Maxwell est revenu sur plusieurs sujets « chauds » touchant le Paris Saint-Germain, comme la situation de LaurentBlanc, que la presse hexagonale annonce sur la sellette. « On est à 100% avec le coach, ça n'a pas été facile pour lui. Il n’a pas beaucoup d’expérience encore, mais il a déjà été à la tête de l'équipe de France, il a déjà gagné la Ligue 1 avec Bordeaux, il a un parcours de vainqueur » a expliqué le Brésilien, qui a également évoqué son avenir au sein du club de la capitale alors qu’il est en fin de contrat en juin prochain. « J’essaye de profiter de cette année. On verra en janvier, ce sera le moment de décider combien de temps il me reste à jouer, et surtout vers quelle aventure aller ».
« ON A BEAUCOUP DE RESPECT POUR L’OM, MAIS IL N’Y A PAS DE PEUR »
Le latéral gauche a également parlé de l’Olympique de Marseille, éblouissant depuis l’arrivée de Marcelo Bielsa et qui confirme peu à peu son statut d’outsider face au Paris Saint-Germain. « Je connais un peu Marcelo Bielsa, son travail. Aujourd’hui, l’OM joue avec plus de vitesse, ils jouent avec plus de vitesse, ils ont beaucoup travaillé physiquement. On a beaucoup de respect, mais il n'y a pas de peur » a déclaré Maxwell qui a tenu à défendre ses coéquipiers français des critiques les visant. « Quand je suis arrivé, j’ai noté beaucoup de différences, oui... À l’Ajax, à l’Inter Milan et au Barça, la salle de gym était toujours pleine. Ici… Mais petit à petit les choses ont changé, quand on vient à la salle on essaye de se trouver une place maintenant parce qu’il y a beaucoup de monde ! ».