En 2012, le PSG dépense 12 millions d’euros pour recruter Marco Verratti. Un transfert à propos duquel le club de la capitale pourrait remercier certaines personnes comme l’explique le père de l’Italien.
« La volonté de Marco est de rester. Il est épanoui à Paris. D’ailleurs, les discussions avec les dirigeants du PSG vont dans ce sens. L’important est qu’il soit reconnu à sa juste valeur », confiait récemment l’agent de Marco Verratti au sujet de la situation de l’Italien au PSG. Toutefois, le milieu de terrain aurait pu ne jamais rejoindre le club de la capitale. Plus jeune, il était déjà suivi par d’importants clubs italiens, qui n’ont toutefois pas su déceler le talent de Verratti.
« Il m’a dit que je pouvais le remercier »
Dans des propos accordés à So Foot, FabrizioVerratti, le père du joueur du PSG a fait une drôle de confidence au sujet de son fils. Il a ainsi lâché : « Des équipes l’ont recalé ? C'est le cas de l'Atalanta, je l'avais amené à Bergame faire un essai de quelques jours, il commençait à s'habituer à son nouvel environnement, mais ils ne l'ont pas conservé, car trop jeune. J'ai recroisé un de ces superviseurs quelques années plus tard, et il m'a dit que je pouvais le remercier, car c'est aussi grâce à lui que Marco était au PSG. S’il était sérieux ? Bien sûr, vous savez, beaucoup de personnes cherchent à s'accaparer les mérites de sa réussite, même dans la famille : « Moi, je lui laçais ses chaussures, moi je lui enfilais son maillot », et ceci et cela ».
« Les clubs italiens doivent ramener Verratti »
Parti de Pescara, Verratti n’a pas eu l’occasion de joueur au plus haut niveau en Italie. Toutefois, comme l’a expliqué GiuseppeGiannini, ces équipes devraient tenter de la rapatrier : « Les équipes italiennes ont le devoir de ramener Verratti en Serie A. Il a tout pour plaire : il est jeune, italien, habitué aux grandes joutes européennes… Les clubs italiens doivent se pencher sur la question. Après, Verratti tu ne peut pas l’avoir pour moins de 50M€. C’est vraiment dommage de ne pas le voir évoluer en Italie. Mais chez nous on ne mise pas assez sur les jeunes ».