Depuis des semaines, Adrien Rabiot était libre de tout contrat, après avoir décidé de ne pas prolonger à la Juventus de Turin. Le milieu de terrain était annoncé sur les tablettes de nombreux clubs, mais c’est finalement l’OM qui a obtenu l’accord du milieu de terrain. Pour Daniel Riolo, l’arrivée de l’ancien Parisien à Marseille n’est pas forcément une bonne chose, car le journaliste doute de sa compatibilité avec Roberto De Zerbi.
Si certains joueurs ne pourront jamais trahir leur club de cœur en signant chez le rival, ce n’est pas le cas d’Adrien Rabiot. Après avoir évolué pendant plusieurs saisons au PSG, le milieu de terrain s’apprête à s’engager avec l’OM, qui a annoncé avoir trouvé un accord de principe avec l’ancien Turinois dimanche soir.
Mercato : Un joueur de «haut niveau» échappe à l’OM ! https://t.co/byCoyfsRnu pic.twitter.com/FCbvdA1qgq
— le10sport (@le10sport) September 16, 2024
Rabiot était libre de tout contrat
L’arrivée d’Adrien Rabiot à l’OM a tout d’un très bon coup réalisé par les dirigeants marseillais. Le club phocéen récupère un international français très expérimenté, le tout pour 0€, car le milieu de terrain était libre depuis son départ de la Juventus de Turin. Il n’avait pas souhaité prolonger avec la formation italienne et il avait également repousser les avances de nombreux courtisans. L’ancien joueur du PSG aurait toutefois baissé son salaire de moitié pour rejoindre le sud de la France.
Rabiot compatible avec De Zerbi ?
Au micro de l’After Foot, Daniel Riolo a émis des doutes sur l’arrivée d’Adrien Rabiot à l’OM. Selon l’éditorialiste de RMC, l’ancien joueur du PSG ne serait peut-être pas forcément compatible avec Roberto De Zerbi. « Rabiot, pour moi, quand il quitte le PSG et qu’il va à la Juve, ça correspond aux pires années de ce club. C’est un milieu qui, pour moi, a très peu de qualités à part des qualités techniques. S’il réussit en Ligue 1, c’est parce que la Ligue 1 sera un championnat qui va peut-être lui réussir en termes de rythme, mais il ne met aucun rythme dans ses matches. (…) Dans le style De Zerbi, j’attends de voir. »