Mercato - Real Madrid : Quand Fabregas ironise sur le départ de Casillas !
La rédaction

Cesc Fabregas, milieu de terrain de Chelsea et de la sélection espagnole, est revenu avec humour sur le départ d’Iker Casillas du Real Madrid.

Le départ d’Iker Casillas n’a pas laissé insensible les supporters du Real Madrid, ni les amateurs de football. Le gardien de but, qui avait fait toute sa carrière au sein du club madrilène, est parti par la petite porte. Nombreux sont ceux à avoir critiqué la décision de Florentino Pérez, qui aurait visiblement poussé son ancien capitaine vers la sortie. Ce dernier, qui a depuis signé au FC Porto, n’était plus en odeur de sainteté à Madrid.

« Iker ? Il a plus de cheveux depuis qu’il est à Porto »

Plusieurs sources ont assuré qu’Iker Casillas vivait un véritable calvaire au Real Madrid, depuis plusieurs saisons. Désaccords avec José Mourinho, désamour avec le public du stade Santiago Bernabeu… l’ancien capitaine merengue n’était pas au mieux dans son club formateur. D’ailleurs, son coéquipier avec la RojaCesc Fabregas, a ironisé sur l’état du gardien de but, depuis qu’il est au FC Porto. « Iker ? Je le vois mieux depuis quelques temps. Il a même plus de cheveux ! (rires) » a lâché l’ancien du FC Barcelone, au micro de Radio Marca. « Ça se voit qu’il est heureux et plus tranquille depuis qu’il est au FC Porto ». Comme quoi un Catalan ne rate jamais une occasion pour envoyer une pique au rival madrilène.

« C’est une véritable honte ! »

Récemment, Iker Casillas a reçu le soutien de Gianluigi Buffon, une autre légende du football. L’inoxydable capitaine de la Juventus et de la Squadra Azzurra avait notamment taclé le Real Madrid pour la manière dont le club s’était séparé du joueur. « Je n’ai jamais été sifflé par mes supporters, ce serait un manque de respect énorme, un manque d’esprit sportif aussi » avait confié l’Italien. « Tu peux avoir des bonnes comme des mauvaises saisons, mais tu ne peux pas siffler un joueur comme Iker, qui a marqué l’histoire du club. C’est une véritable honte ! ».

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