Mercato - PSG : « L’échec Mata ? Mais qui est le patron à Paris ? »
La rédaction

Alors que le PSG a été éliminé de la Coupe de France, Geoffroy Garétier s’est interrogé sur le mercato et le manque de patron dans l’équipe dirigeante du club.

Suite à l’élimination du PSG en Coupe de France contre Montpellier mercredi soir au Parc des Princes, Geoffroy Garétier s’est interrogé sur l’effectif du club parisien et sur le manque de patron dans l’équipe dirigeante. « Nicolas Douchez n'est pas le substitut qu'il faut à Sirigu. Avec lui dans les buts, le PSG a encaissé vingt-deux buts en seize matches depuis l'été 2011, et perdu ses deux séances de tirs-aux-buts. Javier Pastore n'est pas le remplaçant de Motta avec lequel le PSG joue à douze tant est précieuse sa polyvalence. Idem pour Jérémy Menez avec Ezequiel Lavezzi, maladroit dans la finition mais dont l'abattage et le volume de jeu sont irremplaçables en l'état. »

« IBRAHIMOVIC, ENTRAÎNEUR ADJOINT DU PSG ' »

« J'ai déjà posé la question, plus tôt dans la saison, si l'entraîneur adjoint du PSG n'était pas Zlatan Ibrahimovic (appréciation valable pour Thiago Silva). Or, tout indique aujourd'hui que le recrutement de Yohan Cabaye pour renforcer le milieu parisien, souhaité par Laurent Blanc, se heurte au veto des deux leaders du vestiaire parisien, a indiqué Geoffroy Garétier sur son blog. De même, Thiago Motta a récemment jugé négativement l'éventualité d'un recrutement de Paul Pogba (en substance: trop cher et moins fort que le Chilien Arturo Vidal). D'où la question, à huit jours de la clôture du mercato d'hiver et alors que Juan Mata, recrue virtuelle du PSG depuis six mois, quitte aujourd'hui Chelsea pour Manchester United: qui est le patron du PSG ? »

« LE BINÔME LEONARDO/ANCELOTII N’A PAS ÉTÉ REMPLACÉ »« La réponse est claire: il n'y en a pas. Le binôme Leonardo/Ancelotti n'a pas été remplacé. Ni les réseaux du premier, ni la pateline autorité du second, qui s'installe sans remous dans le pourtant sulfureux système du Real Madrid, lequel n'a perdu que deux de ses trente-et-un matches cette saison, a-t-il ajouté. Cette vacance du pouvoir exécutif est le principal danger qui guette le PSG, aujourd'hui. Les propriétaires du club doivent impérativement donner une impulsion, sans laquelle des désillusions sont à craindre, voire à prévoir. »

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