Laurent Blanc est arrivé sur la pointe des pieds au PSG, en 2013. Le technicien parisien est désormais l’un des hommes clés du PSG. Il prend de plus en plus de poids dans les décisions…
En juin 2013, Carlo Ancelotti décide de quitter le PSG pour rejoindre le Real Madrid… Nasser Al-Khelaïfi doit alors lui trouver, dans l’urgence, un remplaçant. Le président qatari du PSG essuie plusieurs refus et confie finalement les rênes de l’équipe première à Laurent Blanc, l’entraîneur français. Blanc est loin d’être le premier choix des dirigeants parisiens…
AL-KHELAÏFI S’EST FAIT UNE RAISON
Petit à petit, Blanc fait son trou. Non sans mal. La saison dernière, le technicien a été proche de la sortie. Au début de saison, pendant de longues semaines, le PSG a tâtonné, le PSG était incapable de hisser son niveau de jeu. Nasser Al-Khelaïfi rêvait notamment de Diego Simeone, l’entraîneur de l’Atlético Madrid. Mais Simeone a refusé. Blanc, de son côté, a fait un triplé historique (Ligue 1, Coupe de France, Coupe de la Ligue). Et il a été conforté.
DE PLUS EN PLUS D’ASSURANCE
Cet été, clairement, Blanc a pris une autre dimension. Le technicien a pris de l’assurance. Il a aussi de plus en plus la confiance de ses joueurs et de ses dirigeants. Il n’est plus qu’un simple entraîneur qui décide de l’équipe à aligner le week-end. Il fait des choix forts. Il se bat pour conserver Motta, il s’est battu pour avoir Di Maria. Il a choisi de recruter Trapp. Il voudrait se séparer de Sirigu et de Lavezzi. Il est de plus en plus écouté par Nasser Al-Khelaïfi.