Echaudé par les accusations de Sandro Rosell, Pep Guardiola lui avait vertement répondu. Aujourd’hui, c’est à Tito Vilanova de livrer sa version.
Accusé par le président du BarçaSandro Rosell de ne pas avoir rendu visite à Tito Vilanova durant sa convalescence à New-York, Pep Guardiola était sorti de ses gonds, jugeant de « mauvais goût » le fait d’ « utiliser la maladie de Tito pour (lui) faire du mal ». Présent ce mardi en conférence de presse, l’entraîneur du Barça a livré sa version et n’épargne pas son prédécesseur.
« Pep a eu tort »
« Les gens ne s’intéressent pas aux affaires personnelles, mais Pep a eu tort et je suis surpris de ses commentaires, a confié le technicien catalan. Il m’a rendu visite une fois à New-York quand je suis arrivé, mais pendant ma convalescence… J’y étais pendant deux mois et je ne l’ai pas vu. C’est mon ami et j’avais besoin de lui, mais il n’était pas là pour moi. J’aurais fait les choses différemment. »