Le directeur sportif de la Juventus Turin, Giuseppe Marotta, s’est confié sur les intentions de la Vieille Dame pour le prochain mercato, et notamment sur une certaine piste Edinson Cavani…
Bien souvent critiqué, Edinson Cavani pourrait envisager de quitter le PSG à l’issue de la saison. Recruté pour 64M€ à l’été 2013, l’international uruguayen peine à justifier le montant de l’investissement des dirigeants qataris. Face aux multiples difficultés rencontrées par le buteur sud-américain, la direction du club de la Capitale pourrait être tentée de s’en séparer lors du prochain mercato estival.
« JE NE PENSE PAS QUE LE PSG VA LE LIBÉRER FACILEMENT… »
Parmi les écuries intéressées par le profil d’Edinson Cavani, la Juventus Turin figurerait en très bonne position. En effet, depuis plusieurs semaines, un intérêt insistant du désormais quadruple champion d’Italie est annoncé pour l’attaquant du PSG, notamment pour succéder à un Carlos Tévez qui a déjà fait part de son désir de finir sa carrière sur le sol argentin. Et justement, le directeur sportif bianconero, Giuseppe Marotta, a brièvement évoqué l’intérêt présumé du club piémontais pour l’Uruguayen. « Carlos Tévez dispose d’un contrat jusqu’en 2016. C’est un joueur qui a inscrit de nombreux buts extraordinaires, nous espérons le conserver jusqu’en 2016. Edinson Cavani ? Je ne pense pas que le PSG va le libérer facilement… », a-t-il ainsi conclu au micro de SportMediaSet, comme l’a relayé Calcio Mercato.
« CAVANI ? C’EST LE FUTUR DU CLUB »
En effet, il faudrait une offre irrefusable pour que le PSG soit tenté de se séparer d’Edinson Cavani. C’est en tout cas ce qu’a tout récemment affirmé le président parisien, Nasser Al-Khelaïfi. « Je n’ai pas rendez-vous avec lui. Il est jeune et c’est le futur du club. Il a besoin de plus de confiance, mais son dernier match prouve son talent. Il sera parisien la saison prochaine. Même si je reçois une offre de 50 millions d’euros de Manchester United ? Je ne la regarderai même pas », avait-il assuré, confirmant ainsi sa confiance envers l’ancien Napolitain.