Le président du Napoli Aurelio De Laurentiis a reconnu que, sans sa clause libératoire, jamais il n’aurait vendu Edinson Cavani.
Edinson Cavani est à Paris depuis hier et en passe de s’engager pour cinq ans en faveur du Paris Saint-Germain, qui a déboursé la modique de 64 millions d’euros pour l’arracher à Naples. Alors qu’il est à quelques heures de devenir le joueur le plus cher de l’Histoire de la Ligue 1, l’attaquant uruguayen de 26 ans aurait pu ne jamais rejoindre la capitale française.
« S’il n’y avait pas eu cette clause… »
En effet, le président de NaplesAurelio De Laurentiis s’est exprimé sur le sujet en marge d’un forum sur le thème du fair-play financier et assuré qu’il n’aurait jamais vendu le goleador uruguayen si le paiement de sa clause libératoire ne l’y avait forcé. « S’il n’y avait pas eu cette clause libératoire, je ne l’aurais pas vendu, même pour 70 millions d’euros. » Le PSG peut remercier le système…