Annoncé comme le successeur potentiel de Giannelli Imbula, Ngolo Kanté semble désormais loin de l’OM. La faute à Marcelo Bielsa qui aurait privilégié le dossier Idrissa Gueye.
Le SM Caen se montre gourmand pour NgoloKanté comme l’a récemment précisé XavierGravelaine : « Le tarif proposé par l'OM n'est pas en adéquation avec la valeur du joueur. (…) À l'heure actuelle, c'est non. Il n'y a aucun souci entre Ngolo Kanté et nous, je l'ai vu plusieurs fois. Il sait que nous étions prêts à faire des efforts s'il y avait plusieurs offres, quitte à perdre un petit peu pour qu'il aille où il veut. Mais là, il y a tellement d'écart...». L’OM ne se montre cependant pas disposer à augmenter son offre pour le milieu de terrain et cette décision proviendrait notamment de Marcelo Bielsa, puisque NgoloKanté ne serait finalement pas sa priorité.
BIELSA PRIVILÉGIAIT LA PISTE IDRISSA GUEYE
Effectivement ce lundi La Provence révèle dans ses colonnes que : « Bielsa était tenu au courant de l’évolution des dossiers en cours quasiment en temps réel. Il a ainsi rapidement pris connaissance d’un accord entre l’OM et Caen au sujet de NgoloKanté ». Seulement le quotidien local annonce que l’entraîneur argentin aurait mis de côté NgoloKanté pour traiter en priorité le dossier IdrissaGueye. Malheureusement pour les supporters marseillais, le désormais ex-Lillois a pris la direction d’Aston Villa.
DES PISTES SUD-AMERICAINES POUR REMPLACER IMBULA ?
Toutefois, Marcelo Bielsa aurait des pistes de secours dans le cas où Ngolo Kanté ne rejoindrait pas la Cannebière. À en croire les informations délivrées par le quodidien local ce lundi, El Loco aurait plusieurs pistes sud-américaines pour renforcer son milieu de terrain. Aucun nom n’a filtré seulement d’après le quotidien local : « Ceux-ci ne cadreraient pas forcément avec la politique mise en place depuis deux ans - des joueurs jeunes, à fort potentiel, dont la vente permettrait ensuite une forte plus-value - et, qui plus est, n’ont aucune expérience en Europe ». La succession de GiannelliImbula s’annonce donc difficile pour les dirigeants olympiens.