Non retenu dans le groupe des 19 joueurs par Marcelo Bielsa pour le premier match de la saison, Morgan Amalfitano aurait appris la nouvelle… par texto.
Comme Le 10 Sport vous l’annonçait en exclusivité il y a quelques jours, les dirigeants de l’OM négocient actuellement avec leurs homologues de QPR pour le transfert de Morgan Amalfitano. Et alors que des intérêts de Hull City, Crystal Palace ou encore West Ham ont déjà été annoncés, le départ du milieu de terrain phocéen se préciserait de plus en plus ces derniers jours…
« IL N’ÉTAIT PAS PRÉVU POUR LE VOYAGE EN CORSE »
En effet, Marcelo Bielsa n’a pas convoqué Morgan Amalfitano dans son groupe de 19 joueurs pour le déplacement à Bastia pour la première journée de Ligue 1. Et à en croire les dernières informations de La Provence, le joueur aurait d’ailleurs été écarté par texto, en lui demandant de ne pas se rendre à l’entraînement vendredi. « Amalfitano n’a pas été convoqué pour le déplacement à Bastia, ce soir, en ouverture de la Ligue 1. Selon nos informations, le Niçois a reçu un texto, jeudi soir, pour lui signifier de ne pas venir à l’entraînement vendredi car il n’était pas prévu pour le voyage corse ce week-end. L’ex-Lorientais est donc allé faire un tennis, de son côté, pour se dégourdir les jambes », indique le quotidien.
« LE JOUEUR VEUT RESTER MAIS… »
Une mise à l’écart qui en dit long sur les intentions des dirigeants de l’OM envers Morgan Amalfitano… « Faut-il y voir le signe d’un prochain départ ? Pas forcément, car le joueur a clamé son envie de rester à un an du terme de son contrat. Mais ses dirigeants ne l’entendent pas de la même oreille et souhaitent se débarrasser d’un gros salaire (Amalfitano émarge à 180 000€ bruts mensuels). Une situation conflictuelle dans le vestiaire de l’OM, où la soupe à la grimace est au menu des anciens traités de la sorte. Certains états d’âme commencent à poindre. Une fâcheuse conjoncture qui devrait perdurer jusqu’aux dernières heures du mercato, qui ferme ses portes le 1er septembre », peut-on notamment lire dans les colonnes du quotidien. Affaire à suivre…