Mercato - ASSE : Ces nouvelles révélations sur ces deux recrues hivernales de Dupraz !
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Président du SCO d'Angers, Saïd Chabane est revenu sur le départ de Sada Thioub et de Paul Bernardoni, aujourd'hui à l'ASSE. Le dirigeant ne regrette pas ces transferts.

Désireux de renforcer son groupe après son arrivée à l’ASSE, Pascal Dupraz s’est montré actif lors du dernier mercato hivernal. Le technicien français a notamment enregistré les arrivées de Paul Bernardoni et de Sada Thioub, qui avaient débuté la saison sous le maillot du SCO d’Angers. Deux coups annoncés en exclusivité par le 10Sport.com en janvier dernier. Ce jeudi, Saïd Chabane est revenu sur le départ de ces deux joueurs. Le dirigeant angevin a laissé entendre que Thioub et Bernardoni n’étaient pas heureux dans son club. 

« Ceux qui restent doivent être heureux »

« Cet hiver, on a prêté deux joueurs, Sada Thioub et Paul Bernardoni, à Saint-Étienne, qui est désormais un concurrent pour le maintien. Vous me demandez si c'est une erreur ? Vous voulez avoir des gamins heureux ou malheureux ? Ceux qui restent doivent être heureux (…) On n’a pas gagné un centime entre les départs de Thioub, Bernardoni, El Melali, Bobichon, et les arrivées de Bentaleb et Jakolis. Si, en fin de saison, Thioub met le but du maintien pour Saint-Étienne qui pourrait enfoncer le SCO en même temps ? Si on commence à spéculer, on n’y arrivera pas… Je serais très heureux que Sada inscrive le but du maintien de Saint-Étienne. Mais si vous partez du principe qu’on est mort, alors que des clubs en dessous, y compris Saint-Étienne, aimeraient être à notre place, je n’y peux rien ! » a confié Saïd Chabane dans un entretien accordé à Ouest-France.

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