Aurelio De Laurentiis est un fin négociateur. Alors qu’Edinson Cavani est courtisé par de nombreuses écuries européennes, le président de Naples a rappelé qu’il avait fixé une clause libératoire élevée (70 M d’euros) en cas de départ de l’Uruguayen, et qu’il n’acceptera aucune offre inférieure à ce montant.
«Ce sera à Cavani d’avoir le dernier mot»
«Cavani sait parfaitement que Naples est très respectueux, et que nous ne lui voulons que du bien, pas seulement du fait de ses buts, mais parce que c’est une personne sérieuse et polie. Et puis, il existe une clause libératoire, si un fou veut mettre 70 M€ sur la table, ce qui correspondrait à 63 M€ net pour notre club, on l’écoutera, mais ce sera à Cavani d’avoir le dernier mot, a-t-il avancé à l’agence ANSA. Qui peut se le permettre ? Il y a des équipes qui ont un chiffre d’affaires conséquent comme le Barça et le Real Madrid, et d’autres qui sans cela, et je ne sais pas pour combien de temps encore, font exploser les budgets en ignorant les règles du fair-play financier. J’ai mis pour lui un montant très élevé, mais nous ne retiendrons personne.»