Alors que Giovanni Ciccolunghi prend ses marques à l’OM, en interne, certains évoquent ses méthodes de management.
Arrivé en remplacement de Vincent Labrune, Giovanni Ciccolunghi a repris la présidence de l’Olympique de Marseille. Méconnu du grand public, cet Italo-suisse s’est immédiatement mis au travail en reprenant les dossiers de son prédécesseur. Très discret, il travaille dans l’ombre et peu d’informations filtrent dans les médias concernant ses méthodes. Mais en interne, on tente de décrypter sa façon de faire.
« Il a quand même fait du business en Russie… »
« Il essaye d’aplanir les différends sur la campagne d’abonnement. Il regarde sur qui il peut s’appuyer à l’OM. Ou pas. Le contexte ne l’émeut guère, il a quand même fait du business en Russie… », confie un cadre du club dans les colonnes de L’Équipe avant qu’un dirigeant n’apporte une précision : « On a repris les habitudes vieilles d’une décennie : la validation en amont de tous les dossiers par le conseil ».