Ce dimanche, l'OM dispute un match très important pour la qualification en Ligue des champions la saison prochaine. En effet, face aux hommes de Roberto De Zerbi se dresse l'obstacle lillois, troisième du classement. Ces dernières semaines, le club de la cité phocéenne a eu du mal à enchaîner les bonnes prestations. Benjamin André, milieu de terrain du LOSC, compte bien se dresser devant les Marseillais.
Pourtant solidement attaché à la place de dauphin du PSG cette saison, l'OM a vu cette deuxième place menacée ces dernières semaines par plusieurs concurrents. Parmi les clubs voulant le dépasser, le LOSC est un adversaire redoutable et le match entre les deux équipes en clôture de la 32ème journée de Ligue 1 dimanche sera fortement animé. Côté lillois, on a envie de tout donner pour faire tomber les Marseillais.
L'OM en perdition ?
Parfois dépassé défensivement, l'OM a connu des résultats moyens qui ne lui ont pas permis d'être tranquille pour la fin de la saison. Le club est à portée de tir de plusieurs autres équipes et en cette fin de saison, le match face au LOSC est d'une importance cruciale. « Il y a beaucoup d'excitation, beaucoup d'envie. Être à ce moment-là, dans cette position et avoir ce genre de rendez-vous à gros enjeu, décisifs, c'est ce qu'on aime » débute Benjamin André, le milieu de terrain lillois, en conférence de presse.
Le moment de vérité pour l'OM
En abordant la fin de saison avec une approche différente, optant pour une mise au vert, l'OM veut retrouver de l'efficacité. « L’OM est une équipe très performante offensivement. Ils ont des individualités qui savent faire énormément de différences. À tout moment, ils peuvent créer le décalage. Il faudra être très concentrés, très lucides, très bons tactiquement, très bons quand on aura le ballon aussi. Car c'est une équipe qui est très dangereuse quand elle le récupère et se projette en transition. Mais ce n'est pas une surprise. C'est ce qu'ils ont fait cette saison. Ils ont eu un petit coup de moins bien à un moment mais très léger » poursuit Benjamin André à la veille du choc.