Mercato - PSG : C'est confirmé, le Qatar a bouclé un deal retentissant avec Sarkozy
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

En décembre 2010, le Qatar était officiellement désigné comme pays hôte de la Coupe du monde 2022 par la FIFA. Mais selon certaines sources, une partie de ce succès se serait aujourd'hui à l'Elysée, quelques jours plut tôt, à l'occasion d'une réunion entre le président de la République Nicolas Sarkozy et une délégation du Qatar. Lors de ce déjeuner, il avait aussi été question du rachat du PSG.

Dans quelques jours débutera la 22ème édition de la Coupe du monde de football. Un évènement planétaire organisé cette année par le Qatar. Une désignation, qui avait provoqué un tollé en raison des conditions de vie des ouvriers étrangers, mais aussi en raison du désastre écologique, que cela pourrait causer. Mais pourquoi la FIFA a-t-elle désigné le Qatar comme pays hôte ? Le média Blast fait état d'un déjeuner à l'Elysée le 23 novembre 2010, quelques jours seulement avant l'annonce de la FIFA.

La vérité éclate sur le mystérieux déjeuner du 23 novembre 2010

Comme l'explique le média, Nicolas Sarkozy aurait déjeuné à l'Elysée avec Tamim ben Hamad Al Thani le 23 novembre 2010. Au cours de ce déjeuner, il a été question du soutien de la France au Qatar pour la prochaine Coupe du monde comme le prouve certains documents.

Le compte-rendu de ce déjeuner confirme un arrangement

Blast s'est procuré le compte-rendu de ce déjeuner, rédigé par le Qatar. Il est question d'un arrangement entre Nicolas Sarkozy, alors président de la République, et le Cheick Al-Thani.  En contrepartie du soutien de la France, mais aussi du vote de Michel Platini, le petit état s'engageait à racheter le PSG, alors en grande difficulté financière. Quelques semaines plus tard, QSI annonçait son arrivée à Paris.

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