L'OM lui dit non au mercato, les raisons sont dévoilées
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Ce jeudi, Roberto De Zerbi sera sur le banc de Brighton à diriger les Seagulls. Mais voilà que l'Italien aura très bien pu être de l'autre côté. En effet, il y a quelques mois, le nom de De Zerbi avait circulé sur la Canebière pour prendre la succession de Jorge Sampaoli. Le choix s'était finalement porté sur Igor Tudor et l'OM avait visiblement ses raisons.

En conférence de presse avant la rencontre entre l'OM et Brighton, Roberto De Zerbi est revenu sur son arrivée avortée à Marseille. L'entraîneur italien a alors avoué : « Oui c'est vrai qu'il y avait une possibilité pour moi de venir à Marseille. C'était une belle option pour moi mais on n'a pas trouvé d'accord avec le club. J'étais triste de ne pas être venu ici parce que ce stade, ces fans étaient une grande motivation pour moi. Mais au final c'était peut-être un mal pour un bien ».

L'OM pas convaincu par De Zerbi

Roberto De Zerbi aurait donc aujourd'hui pu être l'entraîneur de l'OM. Mais pourquoi cela ne s'est-il pas fait ? Dans son édition du jour, L'Equipe revient sur les raisons du refus du club phocéen. A la recherche d'un successeur à Jorge Sampaoli, l'OM avait finalement dit non à De Zerbi n'étant pas convaincu par son parcours en Ligue des Champions avec Donetsk ainsi que les faiblesses défensives de son équipe.

Trop cher pour Marseille !

Mais ce n'est pas tout. Alors que Roberto De Zerbi souhaitait quitter l'Ukraine, alors en pleine guerre avec la Russie, l'OM n'avait tout simplement pas les moyens pour se l'offrir. Comme le précise le quotidien sportif, De Zerbi était très cher et c'est finalement Igor Tudor qui a posé ses valises à Marseille.

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