Alors que Zlatan Ibrahimovic s’est montré coupable d’une poussette sur un journaliste lors de la défaite du PSG contre Rennes au Parc des Princes, Denis Balbir a pointé du doigt l’attitude du Suédois.
Si le talent de Zlatan Ibrahimovic ne souffre d’aucune contestation, l’attitude du buteur du Paris Saint-Germain est régulièrement pointée du doigt. Coupable d’une poussette sur un journaliste de Canal + lors de la défaite du PSG contre Rennes au Parc des Princes, le Suédois n’a pas échappé aux critiques de Denis Balbir, qui a livré son sentiment sur son blog.
« LES LIMITES DU GENTIL IBRA »
« Ibra à quelques restes de son caractère bien ou trop trempé, comme à la sortie de la pelouse du Parc contre Rennes, où sans doute énervé par le match raté de son équipe contrainte de fêter le titre après une défaite, dans un Parc des Princes à moitié vide et qui avait fait entendre sa colère par quelques sifflets, Ibra a un peu bousculé l'homme de terrain de Canal Plus qui voulait entendre ses impressions, a indiqué Denis Babir. Une petite bousculade, un petit geste qui l'air de rien montra une fois de plus les limites du "gentil" Ibra, qui comme beaucoup de ses collègues est dans sa bulle, et qui n'accepte pas grand chose, d'un extérieur qui pourtant fait de son mieux pour toujours lui dérouler le tapis rouge. »
« AVEC LE REGARD NOIR QUI ACCOMPAGNE LE GESTE »
« On sait qu'il se prend pour le meilleur, le plus fort et le plus intelligent, mais ce mauvais réflexe laisse pensif sur le dernier qualificatif qui met en avant son intelligence, car son geste aussi faible soit il est regrettable envers un représentant des médias, qui lui même représente une grande chaîne de sport et de football et dont l'investissement en droit télé, sert aussi à le payer, lui et bien d'autres, a-t-il ajouté. D'autant plus regrettable qu'il s'agit d'un homme de terrain de la chaîne cryptée, bon pro et plutôt sympa, mais on ne peut pas ne serait ce qu'effleurer une mèche d'un cheveu du fils d'Ibra sans se faire envoyer sur les roses par l'intéressé, avec le regard noir qui accompagne le geste... »