Zidane : Ces deux agressions lui ont couté cher !
Alexis Poch -
Journaliste
Titulaire d'un Master en journalisme sportif, je suis tombé amoureux du tennis dès l'enfance et j'ai toujours aimé lire les belles histoires de ce sport. Aujourd'hui, je souhaite les raconter, profiter de ma passion à fond et être au plus proche des as du circuit.

Au cours de sa carrière, Zinédine Zidane n'a cessé de remporter de grands trophées. L'ancien joueur de l'Equipe de France a brillé en club comme en sélection et sur le plan personnel, il peut se réjouir d'avoir remporté le Ballon d'or en 1998. Mais il y a deux gestes qui l'ont sûrement échappé d'en avoir un autre comme l'explique Gérard Ejnes.

Auteur d'une carrière immense en tant que joueur et aussi en tant qu'entraîneur, Zinédine Zidane aurait toutefois pu faire mieux s'il ne s'était pas rendu coupable d'un vilain geste à plusieurs reprises. D'après Gérard Ejnes, ancien directeur de la rédaction de France Football, il a parfois manqué de vigilance pour faire la différence dans les votes pour le Ballon d'or.

Zidane passe à côté de 2 Ballons d'or

Les votes pour décerner le Ballon d'or font polémique chaque année. Dans sa carrière, Zinédine Zidane avait d'autres occasions de le gagner une nouvelle fois après 1998. « Pourquoi Zinédine Zidane n'a pas remporté 3 Ballons d'or ? Zidane a fait cadeau de 2 Ballons d'or. En 2000, en novembre, en plein pendant les votes, il met un coup de boule à un joueur de Hambourg en Ligue des champions. Le fair-play est un des critères. C'est une image choc en plein pendant les votes. Au final il se retrouve 7 votes derrière Figo » rappelle Gérard Ejnes pour Aliotop.

Un coup de boule légendaire

S'il est aussi connu pour son fameux coup de boule en finale de la Coupe du monde 2006, ce geste de Zinédine Zidane lui a coûté cher. « En 2006, je n'ai pas besoin d'expliquer pourquoi il ne l'a pas. Second coup de boule. Finale de Coupe du monde, grande classe. Il l'aurait eu, même si la France avait perdu. Cannavaro n'aurait pas doublé Zidane. Ca aurait été Zidane à coup sûr » poursuit Gérard Ejnes.

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