Mercato : Salaire XXL pour sa signature à l’OM ?
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Le feuilleton Valentin Rongier est déjà lancé à l’OM. Alors qu'il aspirerait à un salaire avoisinant 500 000 € par mois, comme Adrien Rabiot, ses exigences refroidissent non seulement Pablo Longoria mais aussi d'autres clubs français comme le Stade Rennais, qui surveillent attentivement l'évolution de sa situation à un an de la fin de son engagement.

« Dans le cas de Rongier qui entame sa septième saison au club, qui a donné beaucoup, qui a connu une longue blessure très frustrante, qui a énormément travaillé pour revenir à ce niveau actuel... un club qui ne respecte pas ces choses-là n'est pas un club respectable. » Il y a une semaine, Pablo Longoria était revenu sur la situation contractuelle de Valentin Rongier, engagé jusqu’en juin 2026. « C’est devenu un joueur très important pour chaque entraîneur qu'il a connu ici et c'est pour cela que la discussion avec lui se fera de manière posée et respectueuse », précisait le président de l’OM concernant son avenir.

Les grosses exigences de Rongier

Pour l’heure, un accord semble loin d’être trouvé alors que les premiers échanges entre les deux parties n’ont pas été fructueux. Selon Foot Mercato, Rongier demanderait un salaire proche de ceux perçus par d’Adrien Rabiot et Pierre-Emile Højbjerg, soit environ 500.000€ par mois selon les estimations de L’Equipe. Le milieu de l’OM tourne actuellement à 330.000€.

Rennes a été refroidi

Des exigences qui ont de quoi refroidir l’OM, et pas seulement ! D’après FM, plusieurs formations françaises suivent de près la situation de Valentin Rongier, dont le Stade Rennais, qui aurait néanmoins été refroidi par ses exigences salariales. Suspense pour son avenir...

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