Mercato - OM - Amalfitano : « J’en veux à Vincent Labrune… On est des êtres humains, pas des chiens ! »
La rédaction

Morgan Amalfitano a quitté l’Olympique de Marseille, non sans ressentiments. Le Français balance et en veut encore à plusieurs personnes, dont le président Vincent Labrune.

Morgan Amalfitano et Vincent Labrune ne passeront pas leurs vacances en semble. L’international tricolore, désormais à West Ham, en veut beaucoup à son ancien président, pour la façon dont il a été traité ces dernières semaines. Le milieu offensif pointe du doigt notamment un manque de communication et un comportement inhumain du dirigeant, qui l’a écarté du club sans aucun état d’âme.

« IL Y A DES PERSONNES COMME LABRUNE QUI N’ASSUMENT RIEN »

Interrogé sur son départ de l’Olympique de Marseille, Morgan Amalfitano a voulu remettre les choses au clair. Le joueur de 29 ans a parlé d’un traitement inhumain de la part des dirigeants de l’OM. « J’en veux à Vincent Labrune » a-t-il lâché au micro de RMC. « Il y a des personnes, comme Labrune, qui n’assument rien. Quand on envoie un texto… On est des êtres humains, pas des chiens. C’est plus facile de se parler en face, de se dire les choses, je voulais un échange humain. L’OM en a fait une affaire d’argent… C’est dommage pour eux. Mais avec tout ce qu'il s'est passé, je sais que j'ai pris la bonne décision ».

« ILS M’ONT MÊME DONNÉ DE L’ARGENT POUR QUE JE PARTE »

Cette communication bâclée a surtout porté préjudice à l’Olympique de Marseille, qui est le grand perdant dans l’histoire. « Ça se serait terminé pour le mieux et ils auraient été gagnants. A l’arrivée, ils ont tout perdu » a déclaré Morgan Amalfitano ce mardi. « L'OM ne touche pas 1M€ pour mon transfert. Ils disent ça pour ne pas avoir l'air trop bêtes comme ils ont fait depuis le début…Je dirais même plus il m’ont même donné de l’argent pour que je parte. Même le coach avait dit beaucoup de mensonges lors de la conférence de presse me concernant. On ne faisait pas partie du projet, mais on ne nous a jamais rien dit. On n’a pas fait les mendiants. Il faut arrêter de prendre les joueurs pour des ânes ».

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