Alors que le départ de Max-Alain Gradel l’été dernier a été assez mouvementé, l’ancien de l’ASSE explique qu’il n’a jamais eu de griefs à l’encontre des dirigeants stéphanois.
Véritable pièce maîtresse de ChristopheGaltier la saison dernière, Max-Alain Gradel ne fait plus les beaux jours de l’ASSE depuis cet été. L’international ivoirien a décidé de revenir à Bournemouth, son ancien club de 2007 à 2009, mais son départ en Angleterre a été assez mouvementé. Des tensions seraient apparues entre le joueur et les dirigeants stéphanois pour finaliser un accord avec leurs homologues de PremierLeague. Dans un entretien accordé ce mardi dans les colonnes de L’Équipe, le joueur de 28 ans exclut s'être fâché avec BernardCaïazzo et RolandRomeyer.
« Je n’étais pas fâché avec l’ASSE »
« Est-ce que je suis encore fâché avec l’ASSE ? Je ne l’étais pas. C’est juste qu’au moment clé, Gradel veut ce qu’il y a de mieux pour Gradel. Pareil pour Saint-Étienne. Il est donc normal qu’il y ait eu un peu de frottement mais, dans le cœur de chacun, on s’apprécie. Je suis reconnaissant et très fier d’avoir joué chez les Verts », explique Max-Alain Gradel.
« Je voulais revenir à Bournemouth »
« Tottenham et Everton ont eu beau m’appeler, je voulais revenir à Bournemouth. Vous savez pourquoi ? Tout le monde a envie de jouer en Angleterre, mais tout le monde ne le peut pas. Même de grands joueurs, comme Chevtchenko pu Crespo, s’y sont cassé le nez. Quand tu pars en Premier League, il faut être sûr de sa destination. C’est pour ça que je voulais retourner à Bournemouth », avoue également l'ancien attaquant ivoirien de l'ASSE.