En manque de temps de jeu à l’Atletico Madrid, Joshua Guilavogui a effectué son retour à l’ASSE, sous la forme d’un prêt de six mois. Le joueur a affiché sa satisfaction et ses ambitions.
Pour son grand retour à l’ASSE, Josuha n’a pas caché ses grandes ambitions et sa satisfaction. « Le favori de mon ordi, c’était le site ASSE. J’ai tout regardé. Je suis resté connecté ! Ça m’a permis de voir que le coach n’avait plus sa fourrure et que celle-ci était au Musée. J’espère que la prochaine doudoune nous portera chance, s’est amusé le joueur. Je n’avais pas prévu de revenir six mois plus tard. Mais je suis revenu et content d’être ici. Ça se voit. Maintenant, je vais rapidement me mettre au travail afin d’aider mes coéquipiers à atteindre les objectifs. »
« JE NE SUIS PAS VENU POUR RÉCLAMER QUOI QUE CE SOIT »
« Je n’ai pas beaucoup d’attentes. J’ai des objectifs, oui. Mais je ne suis pas venu pour réclamer quoi que ce soit. J’ai simplement envie de jouer. Aujourd’hui, je suis fier d’être un joueur de l’Atlético. J’appartiens à un grand club, à un grand groupe actuellement en tête de la Liga. Mais mon désir était beaucoup plus fort : rejouer et enchaîner les matchs de haut niveau, a confié JosuhaGuilavogui en conférence de presse lundi. J’ai choisi cette option. On peut espérer. Maintenant il faut faire preuve d’humilité. On va déjà faire en sorte de conserver cette position et vivre les matchs comme ils viennent. On n’a plus qu’un match par semaine. Ce sera plus simple de se concentrer et de récupérer pour les suivants. »
« JE NE PENSE PAS ÊTRE PARTI TROP TÔT »
« Sincèrement, je ne pense pas être parti trop tôt. C’est une belle aventure et j’ai eu beaucoup de chance. C’est vrai qu’aujourd’hui, j’ai un temps de jeu faible mais j’ai de la chance d’avoir pu intégrer un très grand club avec un très grand entraîneur. J’ai également été parfaitement accueilli par les joueurs en place. Quand je suis allé leur dire "au revoir", j’ai pu sentir toute l’affection qu’ils avaient pour moi, a-t-il ajouté. J’ai découvert une autre culture footballistique. Pourquoi ? Parce qu’il s’agit d’une autre façon de travailler, d’aborder les matchs. J’ai vécu des rencontres de très haute intensité. Pour tout joueur, c’est un rêve d’entendre la musique de la Ligue desChampions. J’ai eu la chance de débuter un match de C1. Je retiens le positif. »