Alors que le Paris Saint-Germain a hérité du Real Madrid dans son groupe pour les poules de la Ligue des Champions, Daniel Riolo estime que le PSG n’a plus à rougir devant ses adversaires.
«Kurzawa au PSG, Coentrao à Monaco ! Mendes est fabuleux (…) Sinon, le PSG continue d’être le pigeon européen sur le marché ! » déclarait DanielRiolo, sur son compte Twitter. Cependant, même s’il semblerait que le journaliste de RMC ne soit pas satisfait de la manière avec laquelle le Paris Saint-Germain mène son mercato, ce dernier affirme que l’effectif du PSG peut rivaliser avec n’importe quelle équipe européenne et que le club de la capitale n’a plus à avoir peur, même devant le RealMadrid.
« IL N’Y A MÊME PAS À SE SOUCIER DU GROUPE »
Sur RMC, Daniel Riolo est revenu sur les chances du Paris Saint-Germain de retrouver la phase finale de la Ligue desChampions, malgré la présence du Real Madrid dans son groupe : « Non seulement c’est jouable pour le PSG, mais ils peuvent jouer la première place au Real. À mes yeux, le PSG aujourd’hui n’a avoir peur de personne. L’année dernière, ils ont éliminé un gros avant de tomber sur un Barça injouable. Le Barça cette saison peut être l’équipe injouable, ce sera peut-être le tour du Bayern, du Real ou même de Paris. Cet effectif renforcé par un joueur de la trempe de DiMaria, le PSG ne peut avoir peur, de personne. Il n’y a même pas à se soucier du groupe. Même dans un groupe de la mort, le PSG doit être dans les deux qualifiés et basta. Il n’y a pas une équipe en Europe qui peut se dire maintenant qu’il va passer facilement face au PSG. C’est impossible… Et cette saison le Real semble moins fort que le Barça il y a un an, à la même époque. »
« ÇA FAIT PARTIE DU MASSACRE »
Récemment, Daniel Riolos’était exprimé au sujet de Serge Aurier et il avait confié qu’il n’était pas convaincu par l’international ivoirien. Critiqué pour sa sortie, le journaliste de RMC a tenu à se défendre : « Mon propos est simple, simpliste même : peut-on juste attendre (un peu) avant de s’enflammer ? Récemment les foudres de l’opinion me sont tombés dessus pour avoir dit que je n’étais pas encore convaincu par Serge Aurier ! Et j’ai ajouté que Bernard Mendy n’avait rien à lui envier. L’opinion, les réseaux sociaux, les sites en mal de sensations ont tout transformé. Ça fait partie du massacre. On a évidemment oublié tout ce qui se disait autour du jeune Mendy il y a plus de 10 ans. On oublie vite dans le foot. »