À l’approche du huitième de finale retour de la Ligue des Champions du PSG sur la pelouse de Chelsea, Omar Da Fonseca a dévoilé le onze qu’il alignerait.
Après avoir l’avoir emporté dans la difficulté lors du match aller, le Paris Saint-Germain se déplace mercredi sur la pelouse de Chelsea pour obtenir son billet pour les quarts de finale de la Ligue des Champions. Interrogé dans les colonnes du Parisien, Omar Da Fonseca, consultant sur beIN SPORTS, a dévoilé son onze type pour le choc avec JavierPastore et Angel Di Maria. « Ils sont très complémentaires. Di Maria peut jouer long tout en étant assez loin de la surface. Pastore préfère être proche pour inventer les gestes dont il a le secret. Il excelle dans le jeu court, les une-deux. Ce sont deux joueurs de grandes actions. Dans un bon jour, alors qu'on leur reproche parfois leur manque d'efficacité, ils peuvent devenir des joueurs de grands matchs ».
« J'alignerais un milieu Verratti-Motta-Pastore »
« J'alignerais un milieu Verratti-Motta-Pastore et, devant, Di Maria avec Ibrahimovic et Cavani. Pastore et Di Maria possèdent un gros volume de jeu, ils peuvent revenir défendre. Avec eux, Paris contrôlera la balle pour défendre en avançant. L'un compensera les montées de l'autre. Ce sont deux joueurs qui sont dans la construction de la chaîne de passes, à l'avant-dernière passe ou à la passe décisive. Ils ont besoin de deux options devant eux, Ibra en 9 et demi et Cavani dont la mobilité va fructifier leur côté passeur. Rabiot joue trop au centre, avec Motta et Verratti. Les trois restent dans la zone de confort. Paris ne va pas à Londres pour jouer le 0-0. Pastore va apporter plus, imprimer le tempo, jouer sur la largeur. Pastore et Di Maria sont deux joueurs qu'on ne peut pas discipliner. Ils se déséquilibrent, c'est leur équilibre. La rigidité d'un poste annulerait leur mobilité et pour Pastore sa volonté de jouer près des attaquants. Il ne faut pas les dénaturer. Il faut oser jouer. Pastore et Di Maria ont une qualité technique qui va permettre des accélérations, de menacer Matic et Fabregas par leurs courses, de conserver le ballon », a-t-il ajouté.