Selon RMC, l’OM espère ne pas être sanctionné davantage, à l’occasion du passage devant la commission de discipline jeudi.
Les incidents lors de OM/OL au stade Vélodrome sont désormais loin, mais c’est jeudi que le feuilleton devrait connaître sa fin. À moins qu’une lourde sanction ne soit prononcée après le huis clos partiel pour OM/Angers. Gestion des abonnements dans les virages, retour des filets, effectifs de stadiers quasiment doublés... L’OM a mis toutes les chances de son côté et met désormais la pression.
Labrune et la sortie d’Aulas
Selon RMC, Vincent Labrune a peu apprécié « l’acharnement politique et médiatique » après OM/OL et notamment les propos de Jean-Michel Aulas, évoquant un climat de « guerre civile ». « Je le répète, nous condamnons les jets de bouteilles, mais il n’y a eu ni envahissement de terrain, ni blessé, ni mort. Il faut savoir ramener les choses à leur juste proportion », a affirmé le président olympien à RMC.
Comment l’ASSE peut aider Labrune…
RMC précise également que « les dirigeants marseillais ont préparé un dossier récapitulatif des sanctions prononcées, ces dernières saisons, à l’encontre des clubs jugés pour le même type d’incidents. Comme un certain St-Etienne-PSG ». Le club stéphanois avait écopé d’un huis clos partiel pour la tribune Nord. L’OM craint, au pire, un huis clos partiel qui frapperait le virage Sud, sous le coup d’un sursis.