Alors qu’aucun club français n’avait disputé l’Euroligue depuis trois ans, Tony Parker n’a pas caché sa satisfaction pour la présence de l’Asvel dans cette coupe d’Europe.
Ce vendredi à 20h45, l’Asvel va disputer son premier match d’Euroligue contre l’Olympiakos. Une rencontre attendue par l’ensemble du basket français qui n’avait aucun représentant depuis 2016. Un rendez-vous important pour le club villeurbannais présidé par Tony Parker où il est également actionnaire majoritaire. L’Euroligue ou la « NBA Europe » comme l’appelle Parker, va lui permettre de rendre au basket français ce qu’il lui doit.
« L’Euroligue ? C’est un peu la NBA Europe »
« L’Asvel en Euroligue ? Je voulais rendre au basket français. Depuis le début, on a dit qu’on voulait développer l’un des plus grands d’Europe. Et pour l’instant, tout ce qu’on a annoncé avec Gaëtan Muller (le président délégué) depuis cinq ans, on l’a fait. Plus vite que prévu... Je n’arrête pas de dire à mes équipes que ce n’est que le début. On veut marquer l’histoire et notre génération, pas juste engranger un ou deux titres ». a dans un premier temps confié Tony Parker avant de se pencher sur les objectifs de l’Asvel en Euroligue. « Il n’y a pas d’objectif chiffré. On a la plus petite masse salariale (3,5M€). C’est une année de découverte. On va essayer de bien figurer et on verra comment on grandit. Ce que l’Euroligue représente pour moi ? J’ai toujours adoré le basket européen. Cette compétition est énorme. C’est un peu la NBA Europe. Quand je vois la valeur de notre équipe quand j’ai racheté le club, son évaluation aujourd’hui, ainsi que la manière dont grossit le business autour, il n’y a pas de raison que cela ne continue pas ». a déclaré le président et actionnaire majoritaire de l’Asvel à L’Equipe.