Volley - SNVBA : «Trouver ce dynamisme économique pour devenir plus fort !»
La rédaction

Solide leader de Ligue B après sa victoire à domicile contre Fréjus (3-1), le Saint-Nazaire Volley-Ball Atlantique de Yannick Poterie semble prêt à remplir ses objectifs de montée. Et pour cela, le partenariat avec Bpifrance sera un vrai plus, une fois encore.

Toutes les conditions sont réunies pour que le SNVBA retrouve l’élite du handball français. Sportivement comme économiquement, le club de Yannick Poterie est disposé à dominer cette Ligue B. C’est ce potentiel de croissance, cette envie d’aller de l’avant et de bâtir un projet club de premier plan que Bpifrance a identifié : « Dans une région très dynamique, impulsée par sa présidente Christelle Morancais, il est essentiel de pouvoir compter sur un club comme le SNVBA, explique Patrice Bégay, Directeur Exécutif et Communication Bpifrance Excellence. Un club, c’est une marque et même une communauté, comme le SNVBA, qui est une institution en Pays de la Loire et une marque en devenir. Bravo à Yannick Poterie, son président, gérant d’une concession automobile à Nantes et à Saint-Nazaire, partenaire du club puis dirigeant depuis novembre 2015. Sous sa présidence, le SNVBA est le troisième club de volley-ball masculin professionnel en nombre de licenciés en France et qui se fixe trois objectifs : disposer d’une équipe professionnelle évoluant au plus haut-niveau national, gérer un secteur amateur important proposant un vrai parcours de formation et être un acteur engagé et citoyen dans son territoire ».

Des partenaires pour franchir un cap

A l’occasion de la nouvelle victoire du SNVBA face à Fréjus, Yannick Poterie et Patrice Bégay ont pu officialiser le renouvellement de leur partenariat, nouvelle marque de confiance pour Bpifrance : « A travers ce partenariat, notre idée principale est de pouvoir bénéficier d’un réseau et d’une expertise, précise Yannick Poterie. Ce sont les points forts de Bpifrance, la mise en relation des entreprises et l’accompagnement, le conseil. Notre intention de monter en Ligue A est couplée à notre volonté de faire vivre un club qui dispose d’une section amateur forte, puisque nous avons chaque week-end 22 équipes qui évoluent au niveau département et national. C’est une particularité forte et nous devons la prendre en compte. Il ne suffit pas de tout miser sur l’équipe première, il faut aussi penser au reste de la structure et du club. Cela passe par un budget plus important, nécessairement. Avec la signature d’un ou deux enseignes importantes, des entreprises qui accepteraient de nous accompagner dans notre projet, ce serait un vrai plus. Nous avons clairement l’équipe pour jouer les premiers rôles cette saison et pour atteindre notre objectif de montée. Avec Bpifrance, nous avons bon espoir de trouver ce dynamisme économique pour devenir plus fort ».

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