Le PSG rêve toujours d’attirer Cristiano Ronaldo. Un rêve qui remonte à l’arrivée des Qataris au sein du club…
Gêné par le fair-play financier, le PSG a dû faire attention à sa balance achats/dépenses. Un système qui n’a pas autorisé le PSG à faire le forcing pour s’attacher les services de Cristiano Ronaldo, pendant que d’autres grands clubs sont connus pour avoir d’importantes dettes après de nombreux achats sur le marché des transferts. Économiste et doctorant en économie à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Pierre Rondeau est revenu sur les ambitions initiales du club de la Capitale.
« QSI NE PEUT PAS INVESTIR COMME IL LE SOUHAITE »
« Le PSG a fait un excellent travail avec cette double contrainte DNCG/Fair-Play Financier en plus des contraintes structurelles. Il faut se rappeler que le PSG aurait été capable de recruter Messi ou Ronaldo en mettant 200M sur la table. Ils ont dû faire avec. Le PSG n’a pas pu utiliser d’effet de levier. L’Espagne et l’Angleterre sont devant et QSI ne peut pas investir comme il le souhaite », a lancé Pierre Rondeau dans une émission de Canal Supporters.
LA PORTE BIENTÔT OUVERTE ?
« Ce qui a filtré autour des bureaux du Bernabeu, c’est qu'il y a eu une approche et une offre du PSG. Il est clair que si Manchester United voit que Ronaldo pourrait bouger, ils auront le pouvoir de l'attirer. L'essentiel est qu'il est possible d’affirmer que le Real Madrid pourrait renflouer ses caisses avec Ronaldo si Jorge Mendes ou le joueur indiquent qu'ils aimeraient partir l'été prochain », a récemment confié Graham Hunter, spécialiste du football espagnol sur Sky Sports.