En proie à de nouvelles superstars pour enrichir le PSG cet été, les propriétaires qataris pourraient avoir affaire à de fortes complications après la mise en place du fair-play financier.
Sans doute, le Paris Saint-Germain sera une nouvelle fois l’un des acteurs les plus actifs du prochain mercato estival. Les propriétaires qataris ont bien l’intention d’ajouter de nouveaux noms clinquants à l’effectif de leur club cet été afin de parvenir enfin à leur objectif suprême, remporter la Ligue des Champions. Mais un évènement non négligeable pourrait venir se mettre en travers de leur chemin comme révélé dans les colonnes de l'Equipe.
Le PSG stoppé par le fair-play financier ?
Les dettes cumulées par de nombreux clubs européens ont contraint l’UEFA à mettre en place un système de fair-play financier. Désormais, les dépenses d’un club ne pourront être supérieures aux revenus enregistrés. Fort de l’investissement du richissime propriétaire qatari, le Prince Al Thani, le PSG ne figurent évidemment pas parmi la longue liste de clubs endettés. Cependant, les Parisiens devront eux aussi se plier aux règles du fair-play financier et donc se limiter sur le marché des transferts. Il sera donc très difficile de pouvoir s’offrir certaines superstars comme LionelMessi ou encore EdenHazard, deux joueurs pressentis depuis plusieurs semaines au PSG.
Nouveau coup dur après la défaite contre Chelsea
L’élimination en quart de finale de Ligue des Champions face à Chelsea pourrait avoir une double conséquence pour le PSG. QSI, qui avait fait de la C1 sa priorité cette saison, va donc devoir patienter au moins une année supplémentaire pour enfin y parvenir. Cela en passera certainement par l’arrivée de plusieurs recrues de renom. Néanmoins, cette élimination dès les quarts pourrait être un frein pour la cellule de recrutement. Celle-ci ne permettra donc pas au club d’enregistrer des revenus supérieurs à la saison précédente, le PSG déjà éliminer en quarts en 2013, et donc de bénéficier d’une marge plus conséquentes lors du mercato vis-à-vis de ce fameux fair-play financier.