Si le dossier de l’attaquant a échoué à l'OM, Vincent Labrune a pourtant tout tenté pour offrir à Michel une nouvelle pointe. Dans les colonnes du Parisien, le président marseillais est revenu sur les raisons de l’échec des négociations pour Simone Zaza.
Alberto Gilardino, Wissam Ben Yedder, Alessandro Matri… Ces trois noms ne sont qu’un simple extrait de la pléthore de noms qui a collé à l’attaque de l’OM en cette fin de mercato. Parmi eux, celui de Simone Zaza avait tapé dans l’œil de Vincent Labrune. Alors qu’il confirme les discussions avec la Juventus pour l’international italien, le président de l'OM regrette dans le même temps la défaite à Guingamp qui a peut-être tout changé.
« ON PENSAIT L’AVOIR CONVAINCU… »
Mitchy Batshuayi aura donc une lourde tâche à mener pendant quatre mois. Jusqu’au prochain mercato, l’international belge devra porter tout le poids de l’attaque marseillaise avec un rythme monstre, soit un match tous les trois jours les semaines d’Europa League. Vincent Labrune a pourtant tout essayé pour trouver une doublure à Batshuayi, en vain. Cela aurait pu être Simone Zaza, attaquant de la Juve et qui est barré par Mario Mandžukic et Paolo Dybala. Dans les colonnes du Parisien, le président de l’OM s’en explique : «Pour ce second poste, nous avions ciblé Zaza, l’attaquant international de la Juventus Turin susceptible d’apporter un vrai plus. Des discussions ont été menées avec son club. Soit on parvenait à obtenir son prêt, soit on investissait sur le marché des transferts français en sollicitant Ben Yedder. On pensait l’avoir convaincu (...). La défaite en Bretagne l’a sans doute fait changer d’avis. On pensait l’avoir convaincu. Il a demandé vingt-quatre heures de réflexion. Je respecte sa position ».
« L’OM EST PERDANT POUR NKOULOU »
Ancien président de l’OM, Pape Diouf, interrogé par RMC hier, n’a pas épargné Vincent Labrune dans sa gestion du club : « Renouveler le contrat d’un joueur se fait en amont. La question s’est récemment posée de savoir s’il ne serait pas judicieux de vendre Nkoulou pour qu’il ne parte pas non plus en fin de contrat. Aujourd’hui, se séparer de Nkoulou c’est amoindrir l’équipe, ne pas le vendre c’est courir le risque de le voir partir pour zéro euro et renouveler son contrat c’est, parce qu’il a déjà parlé avec Aulas, lui monter ce contrat le plus haut possible. Dans les trois cas, l’OM est perdant.Ancien président de l’OM, Pape Diouf, interrogé par RMC hier, n’a pas épargné Vincent Labrune dans sa gestion du club : « Renouveler le contrat d’un joueur se fait en amont. La question s’est récemment posée de savoir s’il ne serait pas judicieux de vendre Nkoulou pour qu’il ne parte pas non plus en fin de contrat. Aujourd’hui, se séparer de Nkoulou c’est amoindrir l’équipe, ne pas le vendre c’est courir le risque de le voir partir pour zéro euro et renouveler son contrat c’est, parce qu’il a déjà parlé avec Aulas, lui monter ce contrat le plus haut possible. Dans les trois cas, l’OM est perdant Ancien président de l’OM, Pape Diouf, interrogé par RMC hier, n’a pas épargné Vincent Labrune dans sa gestion du club : « Renouveler le contrat d’un joueur se fait en amont. La question s’est récemment posée de savoir s’il ne serait pas judicieux de vendre Nkoulou pour qu’il ne parte pas non plus en fin de contrat. Aujourd’hui, se séparer de Nkoulou c’est amoindrir l’équipe, ne pas le vendre c’est courir le risque de le voir partir pour zéro euro et renouveler son contrat c’est, parce qu’il a déjà parlé avec Aulas, lui monter ce contrat le plus haut possible. Dans les trois cas, l’OM est perdant.»