Le futur de Gianluigi Donnarumma au PSG suscite de nombreuses spéculations, alors que la direction parisienne s'intéresse de près à Lucas Chevalier, prometteur gardien du LOSC. De son côté, Luis Enrique refuse de prendre position pour l’avenir de son joueur, dont les discussions pour sa prolongation sont à l’arrêt à un an de la fin de son contrat.
Le dossier des gardiens risque de revenir sur la table du PSG dans les prochains mois. L’Equipe et Le Parisien ont récemment indiqué que la direction parisienne en pinçait pour Lucas Chevalier, auteur d’une grosse saison au LOSC lui ouvrant les portes de l’équipe de France, au point d’entamer des discussions avec les différentes parties. Une révélation qui intervient au moment où les négociations sont à l’arrêt pour la prolongation de Gianluigi Donnarumma, sous contrat jusqu’en 2026.
Le PSG surprend avec l'arrivée de Safonov, un choix audacieux qui laisse perplexe. Qui sera son principal concurrent ? 🥅
— Le10Sport_PSG (@le10sport_psg) February 3, 2025
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« Donnarumma ? Mon avis ne compte pas »
Et ce n’est pas la dernière déclaration de Luis Enrique qui va mettre un terme aux rumeurs sur Gianluigi Donnarumma. Interrogé ce lundi en conférence de presse sur son envie de voir prolonger le portier italien, l’entraîneur du PSG s'est montré peu loquace : « Mon avis ne compte pas ! »
Luis Enrique ne veut pas se positionner
Il y a quelques jours, Luis Enrique avait déjà refusé de prendre position pour l’avenir de Donnarumma : « Cette question doit être posée à la direction sportive. Je ne vais pas répondre à ces rumeurs, même si je comprends votre intérêt. Il faut en parler aux personnes concernées, en privé, au moment opportun. Moi je veux rester concentré sur notre objectif, qui est de rester en vie dans toutes les compétitions. Je sais que cela fait partie de tout ce qui entoure une grande équipe, mais je ne vais pas parler de tout ça publiquement. » Décisif ces dernières semaines, Gianluigi Donnarumma peine encore à faire l’unanimité sur la durée, son jeu au pied et ses relances étaient notamment pointés du doigt, des caractéristiques pourtant déterminantes aux yeux du coach parisien.