PSG : « Finalement, on se rend compte que Paris, c’est surtout Ibrahimovic… »
La rédaction

Si le Paris-Saint-Germain souffre en ce moment avec de mauvais résultats et un jeu poussif, l’absence de Zlatan Ibrahimovic n’y est clairement pas pour rien.

Star incontestable du Paris-Saint-Germain depuis son arrivée à l’été 2012 en provenance du MilanAC, Zlatan Ibrahimovic depuis sans doute actuellement sa meilleur saison à titre individuel. Meilleur buteur et passeur du club parisien, l’attaquant suédois manque cruellement à ses coéquipiers. Absent pour cause de blessure et parti se ressourcer en Suède suite au décès de son frère, le buteur parisien a laissé un grand vide au sein de la formation entraînée par LaurentBlanc, comme le montrent les deux défaites face à Chelsea (2-0) et Lyon (1-0).

« LES PARISIENS DOIVENT APPRENDRE À JOUER DIFFÉREMMENT »

« J'étais convaincu qu'en son absence cette équipe pouvait s'appuyer sur d'autres atouts. Mais finalement, on se rend compte que Paris, c'est surtout Ibrahimovic. Comme d'ailleurs Barcelone c'est surtout Messi. (…) Les Parisiens doivent apprendre à jouer différemment. Ils s'étaient habitués au jeu d'Ibra qui était à la fois buteur et remiseur. Avec lui, cette équipe excellait dans les attaques placées. Or, Cavani n'a pas les mêmes caractéristiques. Il joue dans la profondeur, fait des appels. Ce n'est plus le même type d'animation offensive », a ainsi expliqué l’ancien international français Éric Carrière (10 sélections, 5 buts).

« IL TRANSMETTAIT SA RAGE DE VAINCRE »

Dans les colonnes du Parisien, l’ancien meneur de jeu du FC Nantes ou de l’OL a également tenu à souligner l’influence de Zlatan Ibrahimovic dans le vestiaire parisien, sur et en-dehors du terrain. « À chaque but, même lorsqu'il n'en était pas l'auteur, tous les joueurs se rassemblaient autour de lui. Ça montre l'influence qu'il a sur ses coéquipiers. Il transmettait sa rage de vaincre », a-t-il ajouté.

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