Sérieusement touché aux cervicales samedi soir face à Guingamp, Steve Mandanda ratera la Coupe du monde avec l’équipe de France. Pierre Ménès a tenu à apporter son soutien au gardien de l’OM.
« Suite au choc avec Moustapha Yatabaré, Steve Mandanda présente une fissure stable de la première vertèbre cervicale et une entorse cervicale. Ceci l’obligera à porter une minerve pendant trois semaines et à suivre une période de rééducation équivalente », expliquait un communiqué officiel de l’OM ce dimanche. Pierre Ménès a donc apporté son soutien au gardien marseillais sur son compte Twitter.
« J’AI EU TRÈS PEUR »
« Une grande pensée pour Steve Mandanda. J’ai eu très peur en voyant l’action », assure le journaliste et chroniqueur de Canal +, qui apporte une précision puisque Stéphane Ruffier prendra sa place chez les Bleus pour la Coupe du monde : « Ruffier en numéro deux ? C’est ça sauf que Deschamps n’est pas obligé de donner une hiérarchie ». Steve Mandanda a tenu à remercier l’ensemble de ses soutiens ce dimanche : « Merci pour tous vos messages de soutien, ils me vont droit au coeur. Je vous tiendrai au courant une fois tous les examens terminés ».
« STEVE EST IMPORTANT POUR L’ÉQUIPE DE FRANCE »
Mathieu Valbuena avait également fait part de son inquiétude samedi soir pour son partenaire de l’OM, avant que son forfait pour le Mondial ne soit rendu officiel : « Ça me touche énormément parce que j’ai une relation particulière avec lui et que ça peut mettre en péril sa Coupe du monde. On ne sait pas encore le diagnostic donc on ne va pas trop s’avancer, on verra bien si ça va mieux. J’espère vraiment qu’il pourra aller au Mondial parce que c’est une compétition exceptionnelle. Steve a un rôle très important pour l’équipe de France et pour l’Olympique de Marseille donc j’espère vraiment que ce n’est pas bien grave et qu’il pourra vraiment être parmi nous ».
Une grande pensée pour Steve Mandanda. J'ai eu très peur en voyant l'action
— Pierre Ménès (@PierreMenes) 18 Mai 2014
@_SuperNii c'est ça sauf que Deschamps n'est pas obligé de donner une hiérarchie
— Pierre Ménès (@PierreMenes) 18 Mai 2014