Coupe du monde Brésil 2014 : Pierre Ménès pointe du doigt la communication de Didier Deschamps !
La rédaction

Sur son blog, Pierre Ménès est revenu sur l’élimination de l’équipe de France en quarts de finale du Mondial contre l’Allemagne et a pointé du doigt la communication de Didier Deschamps.

Auteur d’une bonne Coupe du monde, l’équipe de France a été éliminée en quarts de finale de la compétition contre l’Allemagne (1-0). Si les Bleus semblent avoir retrouvé le soutien de son public, Pierre n’a pas manqué l’occasion de tacler la communication de Didier Deschamps au cours du Mondial sur son blog. « Et puis le sentiment général est partagé entre la frustration - comme le dit l’expression consacrée, « y’avait la place » - et la satisfaction du devoir accompli ».

« GRANDS COUPS DE SELFIES ET DE DÉCLARATIONS BISOUNOURS »

« C’est tout le mérite de Deschamps d’avoir chloroformé l’opinion publique à grands coups de selfies et de déclarations Bisounours sur le merveilleux état d’esprit des Bleus. Sur le terrain, pour moi on avait le groupe le plus facile qu’une équipe de France ait eu à jouer depuis 2006, a indiqué Pierre Ménès. En terminant logiquement à la première place, les Bleus ont eu droit à un huitième de finale abordable remporté assez péniblement. Et Deschamps a alors envoyé un message fort avant même le match face à l’Allemagne en disant que la Coupe du Monde ne serait pas ratée, même en cas de défaite. »

« ON VA TRÈS VITE SE PROJETER SUR L’EURO 2016 »

« Comme tout le monde voyait l’EdF sortir en quart, ça tombait bien. On n’a pas vu les Bleus mettre leurs tripes sur le terrain comme on a vu beaucoup d’autres équipes le faire ? Peu importe, tout cela va passer aux pertes et profits et ne donnera lieu à aucune polémique ni débat. On va très vite se projeter sur l’Euro 2016 et au royaume de la com’, DD a fait une grande Coupe du Monde, a ajouté le journaliste. Et accessoirement, un résultat sportif correct. Mais pas meilleur qu’en 2012 par exemple, lorsque la France avait été éliminée en quart de l’Euro par une formation espagnole autrement plus intouchable que l’Allemagne d’hier. »

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