Mercato - PSG : Motta, Rabiot, Cavani, Verratti… Ces dossiers bien gérés par Al-Khelaïfi !
La rédaction

Alors que Nasser Al-Khelaïfi a notamment réussi à prolonger le contrat de Marco Verratti, le président du PSG a reçu les louanges d'Alain Cayzac. 

Si le PSG est aujourd’hui l’un des plus grands clubs en Europe, c’est en partie grâce au travail des investisseurs qataris. Les Émiratis ont donné une nouvelle dimension au club de la capitale avec, notamment, l’arrivée de grands joueurs. Nasser Al-Khelaïfi a également réussi à éteindre certaines velléités de départ, dont celles de Thiago Motta, Adrien Rabiot ou Edinson Cavani. Une situation saluée par Alain Cayzac, ancien président du PSG, dans des propos accordés à France Football.

« Il a très bien géré le cas Aurier aussi selon moi »

« Étant dans une phase non plus de lancement mais de continuité, il y a forcément des cas plus difficiles à gérer pour lui. Attention, il n’est pas seul non plus, mais il les a très très bien gérés. Vous parliez de Motta, qui pour moi est un élément capital dans la philosophie de jeu de Laurent Blanc. Il a très bien géré Motta, pareil pour Rabiot. Le nombre de fois où Rabiot a eu envie de partir et finalement il est resté et on se rend compte que le PSG a besoin de lui et qu’il est très important. Il a très bien géré le cas Cavani, un joueur pas très heureux de ne pas jouer régulièrement, mais Nasser n’arrête pas de dire qu’il a confiance en lui, qu’il l’apprécie, ce qui est une bonne façon d’empêcher le joueur de déprimer et de nuire au vestiaire. Il a très bien géré le cas Aurier aussi selon moi. Je ne suis pas dans les petits papiers et je ne sais pas ce qu’il adviendra, mais en tout cas, je pense que c’est ce qu’il fallait faire. Il ne pouvait pas non plus le licencier, il fallait le punir et se garder une possibilité de le réintégrer si l’entraîneur le souhaite. Il a très bien géré… (Il temporise) En fait, en vous parlant, il y a quand même beaucoup de choses de bien faites (rires). La prolongation de Verratti est aussi un joli coup », admet Alain Cayzac.

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