Transféré de l’OM à Newcastle lors de ce mercato estival pour 17M€ + le prêt de Rémy Cabella, Florian Thauvin serait l’objet de différents démêlés avec la justice.
Florian Thauvin serait-t-il accro aux conflits ? Après le feuilleton rocambolesque qui l’avait vu partir de Lille à Marseille en 2013 après des jours et des jours de conflits, l’ex-ailier de l’OM aurait de nouveaux soucis, mais avec la justice cette fois-ci. Des différents judiciaires avec plusieurs particuliers du côté de la région provencale mais aussi auprès de certains anciens proches.
DE NOUVEAUX DÉMÊLÉS À PRÉVOIR ?
Après ses déboires judiciaires survenus avec son ancienne propriétaire à Cassis, qui lui reprochait de ne pas avoir payé son loyer pendant plusieurs mois, Florian Thauvin a de nouveaux soucis, à propos de ses droits d’image cette fois-ci. En effet, défait par son ancien mentor/agent Adil Amazzough, le fameux « Tonton Adil » au tribunal de commerce, le joueur de Newcastle aurait selon le dossier spécial transferts de Libération, signé mi-août en Angleterre sans intermédiaires. Ce qui semble amorcer de nouvelles poursuites judiciaires. Non inclus dans les négociations entre l’OM et le club anglais, l’agent du joueur Fabrice Picot aurait peu apprécié d’être mis à l’écart. Tout comme Adil Amazzough, qui détient toujours 55% des droits d’image du joueur.
« PAS UN PROBLÈME D’AVOIR OBTENU UN MONTANT SI ÉLEVÉ »
Toutefois, le footballeur transféré affirmait presque le contraire et ne pas avoir été poussé à partir par le club phocéen. « Newcastle est un club qui me courtise depuis des années. A la base, ce n’était pas forcément prévu que je parte. Après… Comment vous expliquer ? Ça a été un accord commun entre Marseille et moi. C’est une décision qui appartient au club. C’était à eux de décider. Si j’ai l’impression d’avoir été poussé dehors ? Non, pas du tout. J’en ai discuté avec le club. »