En fin de contrat en juin prochain, Filip Djordjevic est très courtisé en France comme à l’étranger. Pour Landry Chauvin, son ancien coach au FCN, cela paraît impossible pour Nantes de le conserver.
Alors que Filip Djordjevic a déjà entamé des discussions en vue d’une éventuelle prolongation avec Waldemar Kita, son président, l’attaquant du FC Nantes fait l’objet de nombreuses sollicitations ou marques d’intérêt de la part de clubs français (Marseille, Lille, Lyon...) ou étrangers (Lazio Rome, Borussia Dortmund...).
« UN VRAI JOUEUR DE SURFACE » En fin de contrat en juin prochain et donc libre de s’engager avec le club de son choix, à 26 ans et après six saisons passées à Nantes, Djordjevic sait que l’occasion de rejoindre un club plus huppé ne repassera peut-être pas deux fois. Surtout qu’avec 8 buts marqués en 14 journées de Ligue 1, ajoutés à ses 20 buts l’an dernier en Ligue 2, sa cote n’a jamais été aussi haute. Son profil de pur attaquant de surface se fait également de plus en plus rare sur le marché. « C’est un vrai joueur de surface, un renard, un vrai buteur, toujours bien placé, qui sent le but et est vif de geste », corrobore Landry Chauvin son ancien entraîneur à Nantes.
« IMPOSSIBLE POUR NANTES DE CONSERVER DJORDJEVIC » Landry Chauvin estime d’ailleurs que les chances du FC Nantes pour prolonger et donc garder FilipDjordjevic sont quasiment nulles : « Il est titulaire en sélection nationale alors qu’il ne l’était pas auparavant et ça a été un gros déclic pour lui. Avec son statut en équipe nationale, le fait qu’il marque des buts, qu’il a prouvé qu’il avait le niveau L1, qu’il soit libre, je ne vois pas comment Nantes ferait pour le conserver. Pour moi, c’est impossible. »
Retrouvez l’intégralité du dossier sur les transferts éventuels de Djordjevic et Djilobodji à l’OM dans les colonnes du 10 Sport, actuellement en kiosques.
Antoine Simonneau