Dans le cadre d’un entretien accordé ausitede la FIFA, Teddy Riner a partagé son admiration pour un certain Ronaldinho lors de son passage au PSG.
Véritable supporter du Paris Saint-Germain, Teddy Riner est régulièrement présent dans les tribunes du ParcdesPrinces. Alors, se souvient-il de sa première au stade ? Dans le cadre d’un entretien accordé au site de la FIFA, le judoka français s’est confié. « C'était l'époque du grand Ronaldinho, c'était juste incroyable. Jusqu'à maintenant, c'est toujours mon idole. Je me suis inspiré de sa façon de garder cette joie de vivre tout en exerçant son sport. Ça m'a fait avancer ».
« JE SUIS MARQUÉ À VIE PAR RONALDINHO »
« J'ai regardé beaucoup de vidéos pour voir comment il se préparait. Avec lui, il n'y a pas de pression ! On a la chance de faire un sport, autant le faire bien, sans se prendre la tête. Pour moi, c'est le meilleur joueur du monde. Quand on compare les vidéos, même Ronaldo et Neymar n'ont pas fait ce qu'il a fait. Messi, au niveau technique, le ballon reste collé aux pieds, c'est sûr. Mais là, on parle d'un joueur technique, rapide, qui ne ratait presque rien et qui avait ce petit grain de folie qui fait toute la différence à mes yeux. Les pères de Ronaldinho, c'est Pelé ou Maradona parce qu'ils ont marqué l'histoire du foot. Mais techniquement et pour son côté "joueur", je suis marqué à vie par Ronaldinho. »
« VERRATTI, C’EST UN PEU LA MÊME CHOSE QUE POUR RONALDINHO »« On vient voir des exploits sportifs, de la beauté… Il y a en a un qui nous le rend bien, c'est Lucas. Moi, mes deux joueurs au Parc, c'est lui et MarcoVerratti, a-t-il ajouté. Parfois, Lucas, on le voit courir incliné presque au ras du sol. Il a des appuis et des jambes incroyables. Je me souviens de cette action où il traversé tout le terrain, et devant le but, rien... Mais ce qu'il a fait, c'est exceptionnel ! Même si, souvent, il n'arrive pas à finir. Il est jeune, mais il est très fort. Quant à Verratti, c'est un peu la même chose que pour Ronaldinho, il a cette fougue. C'est le seul que je vois faire des dribbles dans ses six mètres. C'est dangereux quand même ! »